Selon M. Lacroix, " la reconnaissance de la nécessité de donner aux universités du Québec des moyens comparables à leurs homologues nord-américaines et le constat de l'impact de l'éducation supérieure sur l'enrichissement individuel et collectif vont dans la direction dans laquelle l'Université de Montréal s'est engagée. L'Université de Montréal et ses écoles ont effectivement besoin d'avoir les ressources nécessaires pour demeurer un vecteur essentiel du développement de la société du savoir au Québec dans un contexte de globalisation. "

La prise de position de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain va, pour le recteur Lacroix, dans la bonne direction et pose le problème du sous-financement de façon particulièrement pertinente. En ce qui concerne le principe des indicateurs de performance suggérés par la Chambre de commerce, le recteur tient à rappeler que, dans un mémoire présenté au ministre de l'Éducation en septembre dernier, l'Université de Montréal se montrait favorable à l'intégration d'indicateurs de ce type dans la formule de calcul des subventions du gouvernement.