Selon les statistiques du ministère de la Santé et des Services sociaux, de 4 à 6 % des femmes enceintes vont faire au moins deux fausses couches alors que près de 2 % en font trois ou plus. Cette situation est généralement difficile à traverser pour la femme car à la peine de perdre un enfant s'ajoute la culpabilité et la crainte de ne jamais en avoir.
Une chercheuse du Départment de psychologie mène une thèse de doctorat sur le sujet. L'objectif de la recherche vise à mieux comprendre les différents symptômes et leurs enjeux psychiques sur l'expérience d'une nouvelle grossesse.
Des femmes qui amorcent une grossesse avec un historique de fausses couches ou des femmes primipares (à l'amorce de leur première grossesse) n'ayant pas d'antécédents de perte périnatale sont recherchées pour participer à cette étude universitaire.
Pour plus d'information, contacter la chercheuse par téléphone au 802-8980 ou par courriel emmanuelle_robert@hotmail.com.