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L’agrément partiel de la Faculté de médecine vétérinaire est maintenu pour deux ans

Saint-Hyacinthe, le 31 octobre 2005 – L’organisme international qui sanctionne la qualité de la formation des médecins vétérinaires à l’échelle internationale, l’American Veterinary Medical Association (AVMA), vient d’annoncer sa décision de maintenir le statut d’agrément partiel de la Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal pour une période de deux ans. Tant que ce statut est maintenu, la valeur des diplômes n’est nullement remise en question, ni sa reconnaissance auprès des autres institutions.

L’AVMA estime que la Faculté de médecine vétérinaire répond adéquatement à dix des onze critères d’évaluation. Le corps professoral, le programme d’enseignement, la recherche, la qualité des étudiants, le processus d’admission, l’organisation, les budgets, les ressources cliniques et les ressources documentaires satisfont aux exigences d’agrément. Toutefois, l’organisme maintient que les infrastructures et l’équipement restent déficients tant que les travaux d’agrandissement et de rénovation entrepris en 2000 ne seront pas complétés.

Beaucoup de progrès ont été réalisés depuis 2000. La première phase des travaux a été inaugurée à l’automne 2004, la deuxième phase est en voie de réalisation et la troisième phase se trouve à l’étape de la planification. Bien que le financement de l’ensemble du projet reste à compléter, les dirigeants universitaires sont très confiants d’y arriver.

Le rôle des médecins vétérinaires n’est plus à démontrer. Ce sont les professionnels du diagnostic et du contrôle des maladies infectieuses animales et de la prévention de ces maladies. Ils sont aussi les premiers responsables de la prévention de leur transmission aux humains. Des investissements stratégiques doivent être consentis pour que leur formation soit en tout point conforme aux plus hauts critères de qualité. C’est une question de santé publique, de salubrité et de sécurité. Les productions animales représentant un secteur d’activité de première importance, c’est aussi une question de santé économique et de prospérité.

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Pour information

Sophie Langlois
Directrice, relations avec les médias
Université de Montréal
(514) 343-7704

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