Portes ouvertes

Une affluence inattendue

Plus de 2600 personnes ont participé aux portes ouvertes du 8 février. En regroupant dans un même lieu tous les kiosques des facultés, les organisateurs ont facilité la collecte d’information.

L’Université attendait 1500 personnes à ses portes ouvertes, elle en a accueilli plus de 2600. C’est dire à quel point l’activité, qui s’est tenue le 8 février entre 16 h et 20 h, a connu un grand succès. C’est dire également à quel point l’intérêt des jeunes – et de leurs parents – pour l’UdeM ne se dément pas.

«Les gens attendaient en file. Nous pouvons toujours remettre des dépliants, mais ce que les visiteurs veulent, c’est parler à quelqu’un qui répondra à leurs questions», résume Hélène Bernier, directrice de la promotion à la Direction des communications et du recrutement (DCR).

Traditionnellement, les portes ouvertes permettent aux futurs étudiants de faire le tour des pavillons qui les intéressent plus particulièrement. Ce volet, majeur, de l’activité était toujours au menu du 8 février, mais la DCR avait aussi regroupé dans le Hall d’honneur du pavillon Roger-Gaudry l’ensemble des facultés afin que les gens puissent, sur place, obtenir toute l’information désirée. Si l’on en juge par la foule qui se pressait à cet endroit, on peut conclure que l’initiative répondait à un réel besoin. En fait, ce fut un véritable défi que de satisfaire les demandes des uns et des autres dans un délai raisonnable.

Pour une majorité de visiteurs, souligne Hélène Bernier, il s’agissait d’un premier contact avec l’Université. Un nombre significatif d’entre eux étaient de nouveaux arrivants, notamment au kiosque de la Faculté des études supérieures, auquel se sont présentés beaucoup de gens titulaires d’un baccalauréat d’un autre pays.

Les visiteurs ont aussi pu entendre des conférences sur des sujets d’actualité – par exemple celle sur la religion et le terrorisme prononcée par le professeur Patrice Brodeur – ou sur d’autres plus terre à terre mais ô combien incontournables comme cet exposé du registraire, Fernand Boucher, sur la mythique cote R.

Des autobus faisaient la navette entre différents pavillons du campus. Encore là, certains ont eu la surprise de voir descendre de l’autobus non pas 12 ou 15 personnes comme ils s’y attendaient mais…75, notamment à l’Institut universitaire de gériatrie, dont la visite donnait une bonne idée de la majorité des professions liées à la santé.

P.d.R.