Volume 41 - numÉro 16 - 15 JANVIER 2007
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Un rôle de rassembleur pour l’UniversitéLes universitaires peuvent favoriser les rassemblements stratégiques, croit Guy Berthiaume
Les Français disent «clusters» (prononcer «clustair») et les Québécois «grappes». Mais quel que soit le nom retenu, tous s’accordent pour dire que les villes qui réussiront à tirer leur épingle du jeu seront celles qui auront uni leurs forces. Dans cet esprit, le colloque sur les pôles de compétitivité a permis à des gens d’affaires de discuter de leurs bons coups mais aussi de leurs difficultés à travailler en grappes. «Nous avons voulu donner une note pratique aux échanges en rassemblant des gens d’affaires», a souligné le vice-recteur au développement et aux relations avec les diplômés, Guy Berthiaume. Ce dernier était l’organisateur du colloque sur les clusters. Parmi les participants figuraient le pdg de Génome Québec, Paul L’Archevêque, et le président la compagnie pharmaceutique Pfizer Canada, Jean-Michel Halfon. Tous sont ressortis de la rencontre plus convaincus que jamais des bienfaits pour les entreprises interdépendantes de se regrouper. M. Berthiaume a pour sa part mentionné le rôle de rassembleur que l’Université peut jouer sur le marché scientifique.
Le maire présent Le colloque a évidemment donné la parole au maire de Montréal, Gérald Tremblay, qui a eu le mérite de mettre les grappes industrielles à l’ordre du jour au Québec lorsqu’il était ministre de l’Industrie, du Commerce et de la Technologie. |
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