Plus de quatre millions en budget de recherche pour la FMV
Au cours des dernières années, les budgets de recherche obtenus par les professeurs de la Faculté de médecine vétérinaire (FMV) ont augmenté de façon significative, atteignant la somme de 4 084 000 $ en 2000-2001. Les subventions du gouvernement fédéral se chiffrent à 2 215 000 $. Ce montant inclut les fonds versés au Réseau canadien sur les bactéries pathogènes du porc de 618 000 $. Les subventions du gouvernement provincial atteignent maintenant 685 000 $. Par ailleurs, les partenaires de l’industrie ont alloué 375 000 $, somme à laquelle il faut ajouter les montants accordés aux nouvelles chaires de recherche en salubrité des viandes (330 000 $) et en recherche avicole (90 000 $). Ils ont aussi contribué à la recherche en pharmacologie clinique (40 000 $) ainsi qu’au programme CRSNG réseau pour un montant de 212 000 $. En outre, l’Université attribuait une somme de 235 000 $ et le Fonds du centenaire 112 000 $. S’ajoutent également 60 500 $ provenant de diverses sources.
NetLibrary : plus de 2000 livres en version électronique
La Direction des bibliothèques a fait l’acquisition d’un ensemble de 2159 livres électroniques auprès du fournisseur NetLibrary. Les titres inclus dans cette «bibliothèque virtuelle» touchent essentiellement les sciences sociales et humaines (72 %), la technologie (15 %) et les sciences pures et biomédicales (13 %).
Pour plus d’information quant à la procédure d’accès et pour une description des principales fonctions, consultez les pages de NetLibrary à l’adresse suivante: http://www.bib.umontreal.ca/SB/netlib.htm.
Bernard Landriault nommé directeur des relations internationales
Le Comité exécutif a nommé récemment Bernard Landriault directeur de la nouvelle Direction des relations internationales de l’Université.
M. Landriault a fait des études de premier et de deuxième cycle à l’Université d’Ottawa et des études de troisième cycle à l’École des hautes études en sciences sociales, à Paris, sous la direction de Roland Barthes.
Après quelques années d’enseignement comme professeur de français à la fonction publique du Canada et au Collège militaire de Saint-Jean, Bernard Landriault a occupé différents postes administratifs à la Faculté de l’éducation permanente et à la direction de la Faculté des arts et des sciences.
Depuis 1998, il occupait le poste de directeur du Bureau de la coopération internationale. Au fil des ans, Bernard Landriault a acquis une vaste expérience des relations interuniversitaires dans le monde et des organismes de financement qui agissent sur la scène internationale.
Chauffeurs demandés!
Besoin criant de conducteurs venant de l’extérieur de Montréal
Quelque 600 employés et étudiants de l’UdeM ont choisi d’avoir de la compagnie lorsqu’ils franchissent la distance entre le campus du mont Royal et leur domicile. Une partie d’entre eux font quelques kilomètres à peine, mais certains vont jusqu’en Abitibi, au Lac-Saint-Jean ou sur la Côte-Nord à l’occasion d’un long week-end ou d’un congé. «Le covoiturage, c’est économique, écologique, et ça permet les échanges», fait valoir Karine Garcia, responsable du Service de covoiturage.
La grande majorité des membres actuels du Service, soit 438 sur près de 600, doivent se déplacer en dehors de Montréal. Il y a beaucoup plus de passagers que d’automobilistes, de sorte qu’une invitation est lancée aux personnes qui viennent à l’Université en voiture. «Nous avons un besoin particulier de conducteurs venant de l’extérieur de la ville. Peu importe qu’ils soient disponibles de façon régulière ou occasionnelle», dit Mme Garcia. On délimite la grande région métropolitaine de manière très large, soit de Sorel à Vaudreuil et de Sainte-Adèle à Saint-Jean.
Relevant du Service de stationnement, le Service de covoiturage a réalisé l’an dernier 788 «jumelages» entre automobilistes et passagers qui effectuaient un déplacement à l’extérieur de la région métropolitaine. Plus de 70 % des demandes ont pu être honorées. Trois-Rivières est une destination particulièrement sollicitée, et Sherbrooke est en croissance.
Service gratuit
Grâce aux quatre étudiants qui assurent la permanence (Soussane Enchayan, Frédéric Khalkhal et Fabrice Larue complètent l’équipe sous la coordination de Mme Garcia), le Service de covoiturage accomplit l’essentiel de son travail par téléphone. En quelques minutes, tout nouveau membre est enregistré dans la banque de données des adhérents. Il n’y a aucuns frais pour ce service. «Nous préférons laisser l’arrangement à la discrétion des gens. À eux de s’entendre sur le partage des frais», précise l’étudiante à la Faculté des sciences de l’éducation qui vient à l’Université… à pied.
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Voisins à Saint-Benoît de Mirabel, André Lafrance (professeur en communication) et Claudine Pagé (technicienne en microbiologie) font du covoiturage depuis 14 ans. Retombée imprévue de cette bonne habitude: une pièce de théâtre écrite chemin faisant. |
Le plus simple consiste en la séparation moitié-moitié du coût de l’essence. Mais cela ne tient pas compte de l’usure du véhicule; certains automobilistes préfèrent donc d’autres ententes.
En ce qui concerne les permis de stationnement de l’Université de Montréal, ils sont interchangeables d’une voiture à l’autre. Des conducteurs qui habitent le même quartier de banlieue peuvent donc réduire leurs frais en favorisant le covoiturage. «Pour les trajets plus longs, les passagers qui disposent d’un permis de conduire peuvent faire leur part au volant, reprend la coordonnatrice. Ils peuvent permettre à l’automobiliste de se reposer pendant le voyage.»
Fruit d’une entente entre l’Université de Montréal et ses écoles affiliées, le Service de covoiturage est ouvert à toute la communauté universitaire, incluant les professeurs, étudiants et employés des hôpitaux affiliés. L’an dernier, 85 % des membres provenaient de l’Université de Montréal, 8 % des Hautes Études Commerciales, 4 % de l’École Polytechnique et 3 % des hôpitaux.
Information: (514) 343-6111, poste 1870.
M.-R.S.